Retrouvez ci-dessous les notes de l’article de Marc André Cotton dans le PEPS n°20 « Hollywood : des révélations qui en disent long sur l’importance de l’attachement »
[1]Expression analogue à notre « promotion canapé ». Lire Glenn Harlan Reynolds, « Harvey Weinstein ne peut laver tous les péchés d’Hollywood », Courrier international, 18.10.2017, https://www.courrierinternational.com/article/harvey-weinstein-ne-peut-laver-tous-les-peches-dhollywood.
[2]Pour visiter son site : www.echoparenting.org.
[3]Louise Godbold interviewée par Amy Goodman, “My encounter with Harvey Weinstein and what it tells us about trauma”, Democracy Now, 12.10.2017, https://www.democracynow.org/2017/10/12/louise_godbold_my_encounter_with_harvey.
[4]Lire Louise Godbold, “My encounter with Harvey Weinstein and what it tells us about trauma”, ACES Too High News, 09.10.2017, https://acestoohigh.com/2017/10/09/my-encounter-with-harvey-weinstein-and-what-it-tells-us-about-trauma/.
[5]Lire notamment Yvane Wiart, « Ouvrir la porte aux émotions », Cerveau & Psycho, No 69, mai-juin 2015, http://www.cerveauetpsycho.fr/ewb_pages/a/article-ouvrir-la-porte-aux-emotions-35226.php.
[6]Mark Urman, interviewé par Peter Biskind, Down and Dirty Pictures: Miramax, Sundance, and the Rise of Independent Film, Simon & Schuster, 2005, 2013, p. 70, https://books.google.fr/books?id=jo1HDZsI1-QC. Une traduction française de cet ouvrage est parue sous le titre Sexe, mensonge et Hollywood, Le Cherche Midi, 2012.
[7]Myrna Chagnard, interviewée par Peter Biskind, ibid., p. 70.
[8]Miriam Weinstein confiera : « C’était le plus beau compliment pour une mère et un père. » Citée par Jesse Green, “Endpaper: The Mother of All Independents”, The New York Times, 16.11.1999, http://www.nytimes.com/1997/11/16/magazine/endpaper-the-mother-of-all-independents.html.
[9]Mark Lipsky, interviewé par Peter Biskind, op. cit., p. 67.
[10]Alan Brewer, interviewé par Peter Biskind, ibid., pp. 67-68.
[11]Ce roman de Philip Roth, paru en 1969, s’est fait connaître par les descriptions crues de certaines obsessions sexuelles du narrateur, Alexander Portnoy, alors considérées comme pornographiques.
[12]Steve Earnhart, interviewé par Peter Biskind, op. cit., p. 68.
[13]D’après Alan Brewer, interviewé par Peter Biskind, op. cit., p. 68.
[14]Bob Weinstein, “All Thanks to Max”, Vanity Fair, avril 2003, https://www.vanityfair.com/news/2003/04/max-weinstein-200304.
[15]Harvey Weinstein, interviewé par Rock Lyman, “Harvey Weinstein: Memory’s Independent Streak”, The New York Times, 27.04.2001, http://www.nytimes.com/2001/04/27/movies/watching-movies-with-harvey-weinstein-memory-s-independent-streak.html.